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Le 8 février dernier, lors de l'événement "Power Sector Vision", Eurelectric présentait à Maroš Šefčovič, Vice-Président de la Commission Européenne, sa déclaration de vision long terme pour l'industrie électrique européenne signée par les CEO's des plus grandes entreprises d'électricité et par les associations nationales, parmi lesquelles la FEBEG.

Sur base des mécanismes d'aides d'Etat, la Commission Européenne a récemment approuvé 6 mécanismes de capacité mis en place en Allemagne, Belgique, France, Grèce, Italie et Pologne. La Commission juge que ces mécanismes sont importants pour assurer la sécurité d'approvisionnement mais elle souhaite qu'ils évitent toute distorsion de concurrence sur le marché de l'énergie. Ces mécanismes de capacité desservent à peu près la moitié de la population européenne (sans compter le Royaume-Uni dont le mécanisme de capacité avait déjà été préalablement approuvé).

Une étude du Pentalateral Forum (PLEF) confirme la conclusion de l'étude d'Elia d'une situation tendue à court terme en Belgique et en France. A plus long terme (2023-2024) la situation ne se dégrade plus davantage dans ces deux pays, mais ce sont d'autres pays de la zone - surtout l'Allemagne et les Pays-Bas - qui connaissent un léger recul en matière d'adéquation.

La FEBEG se félicite de de cette approche commune. Cette approche permet à la FEBEG et aux autres parties de marché concernées de participer beaucoup plus facilement à une seule et même consultation, et surtout de déployer à terme un système uniforme au sein des trois régions.

La FEBEG apprécie la dynamique impulsée par le gouvernement wallon en vue du déploiement régional des compteurs d'électricité intelligents. C'est une bonne nouvelle pour les consommateurs qui profiteront d'une meilleure optimisation du système énergétique dans son ensemble.

Ces associations nationales - BE; DE; ES; FR; IR; IT; PT; UK - appellent les décideurs politiques à autoriser la mise en place rapide de marchés de capacité en complément de réformes des marché à court-terme.

Suite à l'annulation par la Cour constitutionnelle en juin 2017, le prélèvement flamand "Contribution au Fonds Énergie" a été adapté au 1er janvier 2018. Le prélèvement est transformé en un prélèvement mensuel par point de prélèvement, dont les montants dépendent du niveau de tension auquel le client est raccordé.

Le partage d'énergie peer-to-peer est-il un marché émergent capable de bouleverser la donne ? Différents experts tentaient de répondre a cette question lors d'un événement FEBEG qui s'est tenu le 19/12/2017 à Bruxelles.

Globalement l'on constate une diminution des émissions de polluants dans l'air au cours de la période 2000-2016. L'impact positif que le secteur de l'énergie a sur ce résultat est remarquable. D'autant plus que l'impact des familles (logements) et particulièrement de la mobilité augmente dans le même temps.

La FEBEG se réjouit de la création de Virtualys, le nouveau point d'interconnexion virtuel (VIP) entre les marchés gaziers français et belge. Cela facilitera le négoce de capacités entre les deux pays.

Sous la bannière d'Eurelectric, les associations nationales (dont la FEBEG) et les patrons de toutes les grandes entreprises électriques du continent se sont mis d'accord, début décembre 2017, sur une déclaration de vision commune qui engage le secteur à accélérer la transition énergétique propre.

Délester des clients pour améliorer le fonctionnement du marché? Une mesure avec un impact social et économique de cette envergure mérite un débat sociétal approfondi.

La FEBEG accueille positivement le Clean Mobility Package. Le secteur du transport, fort émetteur de gaz à effet de serre doit impérativement contribuer à la décarbonisation de l’économie européenne et belge. Notre secteur électrique et gazier prend ses responsabilités et se saisit de ces opportunités.

En tant que power generations & environmental policy advisor au sein de la FEBEG, il aidera la fédération et ses membres à se positionner dans ces mêmes domaines, prioritairement au niveau régional flamand, mais également à l'échelle fédérale.

Les gestionnaires de réseaux gaziers et les fournisseurs de gaz ont besoin de relais pour sensibiliser des groupes plus difficiles à mobiliser (syndics d'immeubles, personnes précaires, propriétaires-bailleurs...).